Sarah Sugarman

L’irlandaise

« This man ? He’s just like trippin’-dicular »… (Valley Girls) Une bonne dose d’humour, un idéalisme chevillé au cœur, une énergie incroyable qui transpire dans des scenarii souvent primés, toujours salués… Sarah Sugarman est l’IRISH de notre famille « Invités ».  Elle a joué avec les meilleurs à la Royal Academy of Dramatic Art de Londres, suivi des cours dans des écoles prestigieuses -Ecole de cinéma de Bornmuth, ArtsEd, The Barbara Speake Stage School- joué, écrit et réalisé des films…

Si elle devait être réincarnée en personnage anglais -English character!?  What about a Welsh or Irish character?- « j’essaierais d’être la Reine ». S’agissant d’un personnage gallois, « je serais Anthony Hopkins ». Si c’était en Irlandais, « je serais Samuel Beckett sans les années de guerre ». Et une place de la femme sublimée avec un Beckett qui les met magistralement en scène, un Anthony Hopkins qui les mange (!!!), et une Queen qui les incarne.

Son film anglais préféré : KES de Ken Loach. Et d’ajouter, «je crois qu’il y a certains cinéastes britanniques qui méritent de ne jamais avoir à se soucier d’être financés – Ken Loach, Andrea Arnold, Mike Leigh, Terrance Davies – certains cinéastes ne devraient jamais avoir à composer avec ce qui est commercial. Plutôt un lien continu avec les courts métrages de nos débuts de cinéastes ».

Aventurière : Si elle devait être réincarnée en personnage anglais -English character!?  What about a Welsh or Irish character ?- « j’essaierais d’être la Reine». S’agissant d’un personnage gallois, « je serais Anthony Hopkins ». Si c’était en Irlandais, « je serais Samuel Beckett sans les années de guerre ». Et une place de la femme sublimée avec un Beckett qui les met magistralement en scène, un Anthony Hopkins qui les mange (!!!), et une Queen qui les incarne.

Son film anglais préféré : KES de Ken Loach. Et d’ajouter, «je crois qu’il y a certains cinéastes britanniques qui méritent de ne jamais avoir à se soucier d’être financés – Ken Loach, Andrea Arnold, Mike Leigh, Terrance Davies – certains cinéastes ne devraient jamais avoir à composer avec ce qui est commercial. Plutôt un lien continu avec les courts métrages de nos débuts de cinéastes ».

Militante : D’ailleurs, à quoi ressemble le festival ideal pour Sarah Sugerman : “Like the Corsican Irish film festival! A celebration of cinema shared with good company and good food!”  Jusque là, tout va bien…

Dites, Sarah, si vous deviez être enfermée à Buckingham, vous feriez quoi ? « Drink the wine cellars dry! “ Of course.

Sa Biographie

Sara Sugarman débute comme comédienne. Elle se produit au théâtre avec la Royal Academy of Dramatic Art de Londres et apparaît à la télévision dans la série Grange Hill et le téléfilm Those glory, glory days (1983). Au cinéma, elle figure aux génériques de Sid and Nancy (1986), Straight to hell (1987), tous deux signés Alex Cox, et de Dealers (1989) de Colin Bucksey. Elle travaille ensuite à l’écriture de ses propres textes. Son one-woman show The Seven ages of (sugar) man obtient le Gerty Naylor Award et son spectacle suivant, intitulé Handsome, handicapped and hebrew, dont elle signe également la mise en scène, lui vaut le Hackney Empire Edward for Innovative Theatre.

Sara Sugarman s’oriente alors vers le grand écran et étudie la réalisation à l’école de cinéma de Bournemouth. C’est à cette époque qu’elle écrit et met en scène deux courts métrages, tournés au Pays de Galles. Le premier, intitulé Up the valley, obtient en 1995 un DM Davies Award à l’International Welsh Film Festival, tandis que le deuxième, Valley girls, est nommé pour un Welsh Bafta et remporte le prix du meilleur court métrage au Celtic Films Festival. Sa troisième œuvre, Anthrakatis, reçoit en 1998 le prix du public au Brief Encounters Short Film Festival et est nommé pour un Bafta Award. La même année, Sara Sugarman signe son premier long métrage, Mad Cows. Sara Sugarman continue sur sa lancée en dirigeant en 2001 Rachel Griffiths dans Annie-Mary à la folie!, l’histoire d’une jeune femme rêvant de devenir chanteuse. Ce film, qu’elle a également écrit, remporte le prix du meilleur scénario international au Festival du Film Indépendant de Sundance 2001.

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